Tear analysis as a tool to detect oligoclonal bands in radiologically isolated syndrome - 23/04/15
on behalf Club francophone de la SEP and RISConsortium1
pages | 4 |
Iconographies | 1 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Abstract |
Background |
Although radiologically isolated syndrome (RIS) is a newly defined entity, incidental findings of T2 hypersignals on brain MRI can lead to misdiagnosis or useless investigations. The detection of oligoclonal bands (OCBs) in cerebrospinal fluid (CSF) is a major indicator that helps in diagnosis of subclinical inflammatory disease of the central nervous system, but lumbar puncture still remains an invasive option.
Methods |
We have prospectively included patients with RIS, have compared the results of CSF and tear OCB detection by isoelectric focusing (IEF) and assessed concordance between OCB detection in tears and in CSF. Tears were collected using a Schirmer strip.
Results |
In 45 recruited RIS patients, OCBs were detected in CSF for 55% (25/45) and in tears for 50% (21/42) of samples.
Conclusions |
We suggest that tear OCB detection may replace CSF OCB detection as a diagnostic tool in patients with RIS and be useful in follow-up.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
La description et la publication des critères diagnostiques du syndrome radiologiquement isolé sont récentes. La découverte fortuite d’anomalies de signal hyper-intenses sur les séquences T2 d’une IRM cérébrale ou médullaire peut conduire à des explorations inutiles ou à des erreurs diagnostiques. La détection de bandes oligoclonales dans le liquide céphalorachidien est un marqueur important pour le diagnostic d’une affection démyélinisante du système nerveux central de l’adulte. Dans le cadre du bilan étiologique d’anomalies de la substance blanche de découverte fortuite, la ponction lombaire peut être considérée comme un geste invasif.
Méthodes |
Nous avons inclus prospectivement des patients présentant un RIS et avons comparé la présence de bandes oligoclonales en isofocalisation dans les larmes et le liquide céphalorachidien. Les larmes étaient recueillies dans les 2 yeux avec une bandelette de papier utilisée dans le test de Shirmer.
Résultats |
Quarante-cinq patients présentant un RIS ont été inclus. Les bandes oligoclonales ont été détectées chez 55 % des patients (25/45) dans le LCR et 50 % des larmes (21/42). Les difficultés principales étaient essentiellement l’absence de larmes chez certains patients ou la dilution trop importante des larmes sur la bandelette au moment du recueil.
Conclusion |
Nous suggérons que l’analyse des larmes dans le RIS peut être un outil diagnostique utile par la détection de bandes oligoclonales et facilement reproductible pour le suivi en cas de négativité.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Cerebrospinal fluid, Radiologically isolated syndrome, Dissemination in space, Diagnostic criteria, Multiple sclerosis
Mots clés : Liquide céphalorachidien, Syndrome radiologiquement isolé, Sclérose en plaques, Dissémination dans l’espace, Critères diagnostiques
Plan
Vol 171 - N° 4
P. 390-393 - avril 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?