Maxillary molar distalization using conventional versus skeletal anchorage devices: A systematic review and meta-analysis - 25/08/19
Comparaison de la distalisation molaire maxillaire avec ancrage conventionnel et ancrage squelettique : revue systématique et méta-analyse
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Summary |
Introduction |
The purpose of this study was to systematically review the evidence regarding conventional versus skeletal anchorage devices for molar distalization.
Method |
An electronic search was conducted. Hand searching was done in the reference lists of included studies and some journals. Studies comparing conventional and skeletal anchorage for molar distalization in Angle class I or II malocclusions were assessed. Presence of periodontal disease, second or third molar extraction and application of tooth accelerating methods led to exclusion of studies. Generic-inverse variance approach was used for meta-analysis by use of the mean difference and random-effect model. Risk of bias was evaluated in included studies.
Results |
A total of 1996 articles were found; of which, 1991 were excluded. The mean amounts of molar distalization/tipping in skeletal anchorage and conventional anchorage groups were 5.35mm/8.44° and 4.25mm/8.31°, respectively, which were not significantly different. The mean amounts of premolar movement in skeletal anchorage and conventional anchorage groups were −0.96mm and +2.21mm, respectively, which was statistically significant (P=0.004). Duration of treatment in skeletal anchorage and conventional anchorage groups was 8.23 months and 7.95 months, respectively, which were significantly different (P=0.0001). Risk of bias was assessed to be high.
Conclusion |
The conventional and skeletal anchorage devices were not significantly different in terms of the amount of molar distalization/tipping. However, the anchorage loss was lower in the skeletal anchorage group. The treatment time was shorter in the conventional anchorage group. More studies with proper design are required.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
L’objectif de cette étude était d’examiner systématiquement les éléments de preuve concernant les dispositifs d’ancrage conventionnel par rapport aux dispositifs d’ancrage squelettique pour la distalisation molaire.
Méthode |
Une recherche électronique a été menée. La recherche manuelle a été effectuée dans les listes de références des études retenues et dans quelques revues. Des études comparant l’ancrage conventionnel et squelettique pour la distalisation molaire dans les malocclusions de Classe d’Angle I ou II ont été évaluées. La présence d’une maladie parodontale, l’extraction des secondes et troisièmes molaires et l’application de méthodes d’accélération du déplacement dentaire ont conduit à l’exclusion d’études. La méthode générique de pondération par l’inverse de la variance a été utilisée pour la méta-analyse selon le modèle à effets aléatoires avec le calcul de la moyenne pondérée des grandeurs d’effet. Le risque de biais a été évalué dans les études incluses.
Résultats |
Au total, 1996 articles ont été trouvés, parmi lesquels 1991 ont été exclus. Les valeurs moyennes de distalisation et de distoversion molaire dans les groupes d’ancrage squelettique et d’ancrage conventionnel étaient respectivement de 5,35mm/8,44° et 4,25mm/8,31°, et ne présentaient pas de différence significative. Les quantités moyennes de perte d’ancrage prémolaire dans les groupes d’ancrage squelettique et conventionnel étaient respectivement de −0,96mm et +2,21mm, avec une différence statistiquement significative (p=0,004). La durée du traitement dans les groupes d’ancrage squelettique et d’ancrage conventionnel, respectivement de 8,23 mois et de 7,95 mois, était statistiquement différente (p=0,0001). Le risque de biais a été jugé élevé.
Conclusion |
Les dispositifs d’ancrage conventionnels et squelettiques ne présentaient pas de différence significative pour ce qui est de la quantité de distalisation/version distale molaire. Cependant, la perte d’ancrage était plus faible dans le groupe des ancrages squelettiques. La durée de traitement était plus courte dans le groupe d’ancrage conventionnel. D’autres études de bonne conception sont nécessaires.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Molar distalization, Meta-analysis, Skeletal anchorage
Mots clés : Distalisation molaire, Méta-analyse, Ancrage squelettique
Plan
Vol 17 - N° 3
P. 415-424 - septembre 2019 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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