Substituts valvulaires - 04/09/08
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Résumé |
En 2006 en France, 8896 chirurgies de remplacement valvulaire ont été réalisées dont 52 % avec des prothèses biologiques et 48 % avec des prothèses mécaniques. Un remplacement valvulaire constitue, pour le patient et ses médecins, un choix entre essentiellement deux types de substitut : la valve mécanique et la valve biologique. Comme tout choix, il est affaire de compromis, ici, entre durabilité et qualité de vie. La durabilité est représentée par les valves en carbone pyrolytique et la qualité de vie par les valves biologiques qui savent, pour un temps, se faire presque totalement oublier par leur porteur. Néanmoins, depuis l'implantation des premières valves cardiaques, il y a plus de 50 ans, des progrès considérables ont été réalisés. Ainsi grâce aux avancées de l'industrie et des équipes de recherche médicochirurgicale, les profils hémodynamiques des valves se sont améliorés, les valves biologiques dégénèrent moins vite et les valves mécaniques présentent moins d'accidents thromboemboliques. De la valve de Hufnagel aux valves à double ailette actuelles, des premières bioprothèses aux valves sans armatures récentes, cette évolution raconte une page de l'histoire de la chirurgie cardiaque et constitue une formidable aventure de la médecine moderne.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Valve mécanique, Bioprothèse, Homogreffe, Hémodynamique
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