Glandes endocrines - 09/12/08
Les endocrinopathies ont presque toutes une expression cutanée qui peut être prédominante et orienter le malade vers un dermatologiste. Les lésions dermatologiques peuvent être secondaires à l’effet direct sur la peau, les muqueuses ou les phanères des hormones produites en excès ou en quantité insuffisante, ou à un effet indirect de ces hormones sur la peau par le biais des autres atteintes viscérales ou tissulaires. Dans certains cas, elles résultent du même processus pathogénique que l’endocrinopathie (exemple : myxœdème prétibial et maladie de Basedow) ; ailleurs il s’agit d’effets indésirables des traitements. Le diagnostic de dysfonctionnement endocrinien, suspecté cliniquement, est généralement confirmé par des dosages hormonaux statiques ou dynamiques. Le diagnostic de l’affection étiologique est indispensable pour la décision thérapeutique.
Plan
© 2008 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L'accès au texte intégral de ce chapitre nécessite l'achat du livre ou l'achat du chapitre.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Déjà abonné à ce produit ?