Exploration radiologique des traumatismes du rocher - 24/11/09
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En cas de traumatisme du rocher, l'imagerie est réalisée à la phase aiguë devant une otorragie, une otorrhée, une surdité de perception ou une paralysie faciale. Le seul examen adapté est la tomodensitométrie (TDM). Celui-ci permet d'affirmer l'existence de la fracture, de décrire l'orientation du trait et de préciser les différentes structures atteintes. On recherche en particulier une atteinte de la chaîne ossiculaire, du canal du nerf facial et des structures de l'oreille interne et la possibilité d'une fistule périlymphatique ou de liquide cérébrospinal. Une bonne connaissance de l'anatomie est un prérequis à l'analyse de la TDM pour distinguer les traits de fracture des structures anatomiques normales. L'imagerie par résonance magnétique (IRM) à la phase aiguë n'est que rarement utile. Une TDM peut être réalisée à distance devant la persistance d'une surdité de transmission ou de perception, une paralysie faciale secondaire, des vertiges. L'IRM n'est réalisée qu'en seconde intention si les symptômes restent inexpliqués ou en cas d'anomalie impliquant les structures intracrâniennes.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Traumatisme du rocher, Paralysie faciale, Fistule périlymphatique
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