S’il est un parent pauvre de la chirurgie du pied, c’est bien l’ongle incarné. La faible motivation du thérapeute et, il faut le souligner, du patient lui-même, en fait une chirurgie peu attractive. Pourtant c’est un sujet de pratique quotidienne qui intéresse les médecins, les chirurgiens (pas forcement spécialisés dans le pied) et les pédicures ainsi que les infirmiers. Le taux de récidive important, les séquelles fonctionnelles et esthétiques nombreuses méritent de s’y intéresser. La plupart des lésions rencontrées s’appliquent au premier rayon. Sur les rayons latéraux, les principes restent les mêmes. Nous avons écarté du sujet la pathologie tumorale rare mais existante, qui doit imposer un examen anatomopathologique dans ces cas atypiques à la clinique inhabituelle.

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Vol 2005 - N° 0003

P. 21-23 - gennaio 2005 Ritorno al numero

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