Que sait-on des fractures fémorales atypiques ? Entre progrès et inconnues - 01/10/11
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Résumé |
Si la réalité des fractures atypiques ne fait aucun doute et si la prise de bisphosphonates semble bien en constituer un facteur de risque important, les mécanismes conduisant à leur survenue restent mal connus. D’un point de vue épidémiologique, ces fractures ne représentent qu’une faible partie des fractures fémorales diaphysaires sous-trochantériennes et restent bien plus rares que les fractures de l’extrémité supérieure du fémur avec un ratio actuellement estimé à un pour cent. Leur existence ne remet donc pas en cause le rapport efficacité/tolérance très favorable de ces molécules au cours de l’ostéoporose, le nombre de fractures épargnées par ces traitements surpassant largement la majoration du risque de ces fractures atypiques.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Bisphosphonates, Fractures atypiques, Ostéoporose
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Au nom de la section « os » de la Société française de rhumatologie. |
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Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais la référence anglaise de Joint Bone Spine (doi:10.1016/j.jbspin.2011.03.015). |
Vol 78 - N° 5
P. 423-426 - Ottobre 2011 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
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