Dans les numéros précédents de RFL (cf N^os 437 et 438), nous avions abordé les thèmes de l’interprétation du compte rendu et de la recherche active de renseignements cliniques.

L’une des façons de répondre aux exigences formulées dans le document Cofrac SH REF 02 (opposable) est de mettre en œuvre des contrats clinico-biologiques (CCB) avec les prescripteurs.

J’entends déjà la « bronca » des confrères œuvrant dans des LBM privés : « nous avons plus de 300 prescripteurs libéraux ; voulez-vous que nous rédigions 300 contrats ? ».

La réponse pertinente (bon sens et pragmatisme toujours…) est évidemment : « bien sûr que non ». Cependant, parmi ces LBM privés, nombre d’entre eux ont établi des contrats de coopération avec des établissements de soins (ES) publiques ou privés. De plus, les confrères hospitaliers sont confrontés également au référentiel de l’HAS (V10) et les EPP sur ce sujet sont les bienvenues…

C’est sans doute la raison pour laquelle les Drs Launay et Chappuis m’avaient demandé de faire une présentation interactive le mardi 8 novembre 2011, à l’occasion des 51^es JBL.

Voici présenté les questions posées et les choix de la salle (votes par boîtier de 90 votants anonymes).

À la suite d’une 1^re interrogation, la salle s’est déclarée à 35 % appartenir à la biologie privée et à 65 % à la biologie hospitalière.

Les propositions de réflexion et les réponses s’enchaînent dans les pages suivantes.