Sport and infectious risk: A systematic review of the literature over 20 years - 22/11/12
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Abstract |
The development of sports activities promoted as a health factor should not hide the increased risk for diseases, more particularly infections. A review of articles made over the last 20 years was made with a descriptive epidemiological purpose. The most marked risk is skin infection with methicillin-resistant community acquired Staphylococcus aureus (27.4% of the articles), followed by Tinea corporis and capitis (13.7%), and leptospirosis (11.7%). The risk of blood-borne infection seems low, and articles are rare (3.9%). The risk of disease with respiratory transmission (measles, meningococcal meningitis) must be taken into account. The effect of physical activity on the immune system depends on the type and duration of the work out: it seems to be beneficial for a workout of a moderate intensity, and deleterious for a sustained acute work out, or a period of intensive training. These periods of protection or susceptibility to infections are described as “open window” and “J curve”. The only recommendations for prevention of sport-related infections arise from the frequency of skin infections and the severity of blood-borne infections. These recommendations are published by American and international sports authorities. The specificity of athletes’ management is due to imperatives of competitiveness (maintaining physical performance) and the necessity of temporary eviction from sports, in case of contagiousness. The athletes must make sure their recommended vaccinations are up-to-date.
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L’essor des activités sportives promues comme facteur de santé ne doit pas occulter le risque de pathologies notamment infectieuses qui peuvent en découler. Une revue de la littérature sur ces 20 dernières années a été réalisée dans un but descriptif épidémiologique. Le risque le plus marqué est l’infection cutanée à Staphylocoque doré communautaire résistant à la méticilline (27,4 % des publications) suivi des dermatophyties (13,7 %) et de la leptospirose (11,7 %). Le risque d’infection à transmission sanguine apparaît faible, les publications sont rares (3,9 %). Le risque de maladie à transmission respiratoire (rougeole, méningite à méningocoque) est à prendre en compte. L’effet de l’activité sportive sur le système immunitaire dépend du type et de la durée de l’exercice : il apparaît bénéfique pour un entraînement d’intensité modérée, et délétère pour un exercice aigu prolongé ou une période d’entraînement intensif. On parle d’open window et de « courbe en J » pour évoquer ces périodes de protection ou de vulnérabilité aux infections. La fréquence des infections cutanées et la gravité des infections à transmission sanguine sont à l’origine des seules recommandations en termes de prévention des instances sportives américaines et internationales. La prise en charge des sportifs est particulière en raison d’impératifs de compétitivité (maintien de la performance physique) et de la nécessité de l’éviction sportive temporaire en cas de contagiosité. Les athlètes doivent être à jour de leurs vaccinations dans le cadre des recommandations.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Keywords : Immunity, Infection, Prevention, Sport, Vaccination
Mots clés : Immunité, Infection, Prévention, Sport, Vaccination
Mappa
Vol 42 - N° 11
P. 533-544 - Novembre 2012 Ritorno al numeroBenvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
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