Prévalence de l’utilisation des minivis d’ancrage par les orthodontistes français - 19/11/15
pages | 26 |
Iconographies | 23 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
De tout temps, l’ancrage a souvent posé problème en orthodontie. Depuis le début des années 2000, l’utilisation des minivis d’ancrage s’est répandue à grande échelle parmi les praticiens. Pour la première fois une enquête épidémiologique à grande échelle (773 réponses exploitables) étudie les habitudes des orthodontistes français dans l’utilisation des minivis d’ancrage. Il en ressort qu’une majorité de praticiens français a intégré l’utilisation des minivis d’ancrage dans sa pratique (66 %), particulièrement pour les praticiens faisant de l’orthodontie linguale. Le nombre de patients concernés reste toutefois limité pour la majorité des praticiens (moins de 10 patients pour 65 % des utlisateurs). Soixante-quatorze pour cent des utilisateurs sont satisfaits de l’emploi des minivis, mais une majorité en réserve l’utilisation chez l’adulte (64 %). Les mouvements les plus recherchés par les utilisateurs de minivis sont la mésialisation/distalisation et l’ingression/égression. En ce qui concerne les non-utilisateurs, 60 % n’ont jamais utilisé de minivis d’ancrage mais songent à y avoir recours alors que 20 % des praticiens les ont utilisées mais les ont abandonnées. Enfin, 20 % des non-utilisateurs n’ont jamais utilisé de minivis d’ancrage et ne songent pas à y avoir recours.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Orthodontie, Ancrage, Minivis, Mouvement dentaire
Plan
Vol 13 - N° 4
P. 436-461 - décembre 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?