Lambeau graisseux, solution chirurgicale simple dans l’amyotrophie de la première commissure de la main. Technique et résultat. À propos d’une observation - 03/01/17
Résumé |
Objectifs |
L’amyotrophie de la première commissure, séquelle d’une paralysie cubitale, constitue souvent une gêne esthétique et donc un motif de consultation. Le lambeau graisseux constitue une solution de comblement.
Matériels et méthodes |
Nous rapportons le cas de mer C B, âgé de 32 ans, manœuvre, victime à l’âge de 20 ans, d’un accident de travail par chute d’un lieu élevé, à l’origine d’une fracture du rachis cervical avec trouble neurologique. Opéré dans les cinq jours après le traumatisme, mais persistance de troubles neurologiques en préganglionnaire portant sur le territoire C7-C8-D1. L’évolution est satisfaisante, d’ailleurs le patient a repris son travail mais se dit gêné par l’aspect vide de sa première commissure. Nous lui proposons un comblement par un lambeau graisseux, prélevé au niveau de la cuisse.
Discussion |
La technique de prélèvement et les suite sont simples.
Résultats |
Le patient est satisfait par l’aspect comblé de sa commissure. Il sera suivi cliniquement et radiologiquement. L’aspect ainsi que l’épaisseur de ce lambeau ne se modifient pas dans le temps. L’IRM, prouve la non nécrose de ce lambeau et ce même après 10 ans postopératoire.
Conclusion |
Il s’agit d’une technique simple comblant commissure et patient !!
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Vol 35 - N° 6
P. 480 - décembre 2016 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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