Dermatologie des peaux génétiquement hyperpigmentées (dites « peaux noires ») - 12/08/09
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Résumé |
L'importance des réactions dyschromiques secondaires à la plupart des dermatoses caractérise la peau dite classiquement « noire » et résulte de son hyperpigmentation relative génétiquement déterminée et variable selon l'ethnie, l'âge, le sexe et l'exposition solaire. Les différences de prévalence des maladies sont surtout liées à des déterminismes géographiques ou épidémiologiques. Il n'y a en fait pas de véritable spécificité, bien que quelques entités soient peu ou non décrites sur peau dite « blanche » (dermatosis papulosa nigra, kératodermie ponctuée palmaire, hypomélanose maculeuse confluente progressive, acné chéloïdienne, pseudofolliculite de barbe, aïnhum). L'utilisation à visée cosmétique de produits dépigmentants ou éclaircissants est une pratique fréquente dans certains pays africains subsahariens. L'application prolongée de certains composants pharmacologiques (hydroquinone, dermocorticoïdes, mercure) peut entraîner des complications cutanées (dyschromie, ochronose exogène, acné et hypertrichose, vergetures, mycoses, pyodermites, érysipèle, gale, dermite de contact, etc.) ou des effets adverses systémiques.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Peau noire, Dermatosis papulosa nigra, Kératodermie ponctuée palmaire, Hypomélanose maculeuse confluente progressive, Acné chéloïdienne, Pseudofolliculite de barbe, Aïnhum, Dépigmentation cosmétique
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